» Nom :Horikita
» Prénom : Jun
» Âge :16 ans
» Date de naissance :(11/03/1995)
» Né(e) à :Tokyo
» Nationalité :Japonaise
» Orientation sexuelle :Hétérosexuel
» Pouvoir :Super Vitesse
» Métier : Lycéen 1ère année

Mon père est un flic et ma mère est guide dans un musée, que pensez-vous que tout cela donne comme mélange? Un garçon ayant le goût de l'aventure, de la justice et qui est cultivé. Je vous le jure, de plus, je suis d'un naturel curieux. J'aime passer mon temps-libre sur le web, dans les livres ou au musée de ma mère pour répondre à mes questions ou en apprendre un peu plus sur la vie sur terre. C'est temps-ci, je fais une fixation sur le personnage américain Flash et sur ses pouvoirs. Se pourrait-il que je peux développer les mêmes à cause de mon père?

Ma façade de prédilection à l’école est probablement mon côté gamin que je montre aux autres, sinon normalement je suis quelqu’un d’enjoué sans plus. Il se trouve que j’aime bien la compétition, je dois tenir ça de mon vieux. Je suis malin pour un garçon de 16 ans et je suis aussi très intelligent, même si parfois cela paraît moins.

J’ai appris à me débrouiller tout seul quand nous avons quitté mon paternel, ma mère finit tard la semaine et je m’occupe de préparer le souper sans qu’elle aille à me le demander. Je ne dépends pas de personnes et c’est ainsi dans toutes les sphères de ma vie. D’où vient mon argent? Je ne vais quand même pas tout vous révélez…

J’ai énormément confiance en moi et en mes capacités et avec les derniers évènements, cela ne fait qu’empirer. Je ne prends quand même pas la grosse tête, mais je commence à perdre la sensation de peur lorsque je fais quelque chose. Il faut dire qu’avec ma nouvelle capacité, si vous réussissez à m’atteindre c’est que vous êtes comme moi et que vous n’êtes pas normal.

Je tiens à dire un truc : Jay Garrick, Barry Allen, Wally West et Bart Allen peuvent partir se reposer puisque le nouveau Flash amélioré est arrivé pour prendre la relève.

Je ne suis pas obligé de vous faire un résumé de la vie de mes parents avant ma naissance puisque vous les connaissez. Je suis arrivé à Tokyo et j'y ai vécu quelques années en compagnie d'un père maladroit et d'une mère plus ou moins protectrice. C'est papa qui m'a appris à marcher et maman m'a appris à parler. On m'a aussi appris à aller m'enfermer dans ma chambre lorsque ses parents se chicanent, car ils ne veulent pas vous avoir dans les pattes et qu'on peut oublier d'aller jouer au ballon avec papa parce qu'il est trop fâché. L'année où je devais faire mon entrée dans le monde scolaire, mes parents ont divorcé et on déménagea à Kyoto. C'était loin de mon père et c'était quand même faisable pour moi en train durant la soirée. Cela me permettait de dormir une partir du trajet et aussi rendu à la maison chez mon père.

Je m'intégrais rapidement à ma nouvelle demeure et à ma nouvelle habitude de vie. Je développais un goût prononcé pour l'anglais suite à mon tout premier cours et le fait que ma mère sorte avec un étranger n'aidait pas mon envie d'apprendre cette langue. Je parlais donc japonais à l'école et chez mon père et chez ma mère, nous parlions anglais. Déjà à ce moment, l'écart entre mon père et moi se creusions. Il oubliait de venir me chercher à la gare à cause de son travail, il n'était jamais à la maison pendant mes jours avec lui et je me commandais moi-même à souper parfois. Lors de mes vacances d'été avec lui, on finit par installer le système de mémos sur le réfrigérateur et c'est ainsi qu'on commença à perdre contact. Mon primaire fut peuplé par les sports, les bandes-dessinées américaines, l'anglais et le dessin.

Au début du collège, je fis la rencontre du plus grand détective de tous les temps, Sherlock Holmes. Le copain de ma mère m'avait offerte la collection complète avec un dictionnaire anglais-japonais. Je vis en ce personnage fictif un modèle à suivre dans la vraie vie. Mon monde de super-héros se transforma et ma chambre aussi. Pendant trois ans, je m'impliquais dans le club de science et de combats de mon école, mais je n'ai jamais vu mon père à l'une de mes compétions ou un concours. Je finis par ne plus espérer rien de lui et ne lui envoyait plus rien. Quand je passais du temps chez lui, il me prenait encore pour un enfant du primaire, ce qui creusait encore plus le fossé entre nous et me mettait de mauvaises humeurs. De plus, mon cellulaire et mon Ipod, n'ont pas aidé à nous rapprocher. Durant les vacances, je m'enfermais dans ma musique, mes devoirs et je préparais mes vacances chez ma mère avec mes amis par téléphone. Je passais au moins trois heures par semaine à me plaindre à ma mère par téléphone. Je faisais moi-même mes repas et quand mon père revenait du travail avec des plateaux-repas, je me sauvais au parc pour traîner avec d'autres jeunes en lui disant que j'avais déjà mangé et en lui rappelant pour la vingtième fois que je n'aimais pas ce qu'il m'avait acheté.

Je suis maintenant en première année du lycée, ma mère n’est plus avec son copain. Je vis très bien avec ça et je dirais que ça me plait d’être l’homme de la maison. J’aide ma mère et je prends soin d’elle tout en faisant ce qu’un lycéen normal ferait. Au plus grand désespoir de ma mère, je m’intéresse aux filles et je me tiens avec des garçons plus âgés que moi. Je fais la collection de coupures de journaux qui parlent de crimes et je lis beaucoup sur des sujets comme la psychologie, la criminologie et sur les profils de criminel. Je l’avoue, j’aimerais devenir policier, mais surtout inspecteur. Je tiens à dire que je ne suis pas les traces de mon père, c’est mes propres choix. C’est surtout à partir de ce moment, que j’ai souvent entendu la phrase : « J’aurais ta peau vaurien» et que j’ai commencé à prendre conscience que quelque chose était différent avec moi.

Au début, je distançais sans problème mes poursuivants sans être fatigué. Ensuite, il y a eu le marathon de l’école où j’ai battu des records de temps que personne n’avait jamais réussi à battre. Je pense que ce qui m’a le plus traumatisé, c’est il y a un mois lors d’une fin de semaine chez mon père… j’ai demandé à l’un de ses amis de me passer un radar de vitesse. Je me suis installé dans un champ loin de la vue de curieux et j’ai fait mes tests. Après mon cinquième essaie, je suis resté sans voix, le radar n’était plus capable de me capter…

Je pense que mon père n'a rien vu aller, mais ma mère a remarqué que j'étais plus ou moins perturbé surtout quand je lui ai demandé où elle avait rangé ma collection de bande-dessinées américaines et que j'ai commencé à les éplucher minutieusement. Je refis connaissance avec les héros de mon enfance et plus particulièrement avec Flash. Je commençais des recherches sur le Web, je sortis toutes les informations que j'avais sur lui dans mes bandes-dessinées, mais je n'avais rien... Le seul qui se rapprochait de ma réalité était Bart Allen qui avait hérité des pouvoirs de son grand-père qui était lui aussi un Flash... est-ce que je devais donc supposer que ce que je venais d'apprendre sur moi... venait de... mon père? J'ai fini par demander à ma mère si nous pouvions retourner à Tokyo... Elle accepta et elle me fit transférer d'école. Maintenant, je dois essayer de me rapprocher de mon père pour lui parler de ma... vitesse.

» Prénom/Pseudo :Alex
» Âge :21 ans
» Double-comptes : Non
» Comment êtes-vous arrivé là ? Grâce à une personne qui vient de s'inscrire sur le fofo
» Un avis ? Une idée ? NON XD