Hashimoto Arashi
feat KITAGAWA KEIKO - Tumblr
» Nom : Hashimoto » Prénom : Arashi » Âge : 21 ans » Date de naissance : 23 février 1990 » Né(e) à : Tokyo » Nationalité : Japonaise » Orientation sexuelle : Hétéro » Pouvoir : Pyrokinésie » Métier : Employée chez primatech
Caractère
Reine de glace, c’est le surnom que certaines personnes aiment lui donner. Froide, peu de gens osent l’approcher. Il faut dire que ça ne m’est pas les gens en confiance, pourtant il y a tellement plus derrière ce masque impassible et hautain. Malheureusement, les gens s’arrêtent souvent à la première chose qu’ils voient et on peut difficilement passée à côté de sa froideur. Pourtant cela plait à certain garçons, cette apparence froide et hautaine, ce côté intouchable. Et une fois qu’on commences à lui parler, on ne peut qu’être choquée par tant de cynisme chez une chez jeune personne. Blessée par la vie et pessimiste, Arashi a dû mal à voir les choses du bon côté, chez elle, le verre est toujours à moitié vide et non à moitié plein. Encore une autre manière de dresser une carapace entre elle et les autres. Eloignée les gens avant qu’ils ne la blessent ou qu’elle ne les blessent. Si seulement, elle se débarrassait de sa colère, sans doute serait-elle plus rassurée sur le contrôle de son pouvoir et accepterait d’approcher les autres. Mais elle est ainsi colérique. Elle a tellement de douleurs en elle que tout c’est transformé en colère. Ce qui est bien dommage, elle gagnerait à connaitre. Ne serait ce que pour l’amour qu’elle porte à sa mère et envers les gens qui lui veulent du bien. Elle pourrait se sacrifier pour eux, mais comment passer du temps avec elle si on peut les bruler à tout instants. Elle leur reste tout de même loyale, d’une loyauté intarissable… Elle garde toujours un œil sur eux, prête à les protéger s’il le faut. Mais n’essayez pas de la trahir, sa colère n’en sera que plus grande, surtout quand on est aussi rancunière qu’elle. La moindre petite crasse, elle s’en souvient et vous la ressortira tout au long de votre vie. Les seules personnes qui pourraient passer au travers sont les hommes avec qui elle sort. Elle est habituée à être déçue par les hommes de sa vie et ce n’est pas maintenant que ça va changer. Et puis de toute manière, elle ne s’attache pas à eux, elle préfère se faire passer pour une fille facile et passer d’hommes en hommes, plutôt que d’en laisser un s’approcher trop près de son cœur. Autant être volage que piétinée par les mecs et être un oiseau de nuit fêtard qui n'hésites pas à boire, renforce encore plus cette impression d'intouchable qu'elle veut garder.
Histoire
« Ma mère, cette héroïne »
On pourrait penser qu’Arashi a eu une enfance tranquille, sans problèmes. Et d’une certaine manière c’est le cas, mais pas les premières années. Les premières années, Arashi les a vécu entouré de ses deux parents, heureuses et sans problèmes. Malheureusement les choses ont très vite dérapée…Arashi n’avait que 6 ans l’époque. Elle était seule avec son père dans leur appartement. Ce dernier c’était endormie sur le canapé. Sa mère, elle, était partie faire quelques courses pour le repas du soir. Profitant du sommeil de son père, la petite s’est dirigée vers la cuisine. Elle avait toujours rêvé de faire à manger, comme sa maman. Mes ses rabat-joies de parents ne l’avaient jamais laissés faire. Les adultes et leurs règles… Elle s’était alors approché de la gazinière. Sa mère est arrivé cinq minutes plus tard et avait réveillé son père avec un grand cri en découvrant sa fille. Le père avait accouru, pour découvrir une scène qu’il n’acceptera jamais. Arashi n’ayant pas réussi à allumer la gazinière, elle s’était installé au sol, une casserole en main, au dessus de son doigts tendu qui projetait une forte flamme. « Ce soir, c’est moi qui fait à manger! » Son père tomba tout simplement dans les pommes, c’est faible un homme. Tandis que sa mère la fixait sans parvenir à faire sortir le moindre son de sa gorge. « Ce n’est pas notre fille! C’est un monstre! » « Arrêtes! Comment peux tu dire une chose pareille. Si elle t’entendait! » « Je m’en moque! Qu’elle m’entende, je ne veux plus d’elle chez moi! » Cachée dans sa chambre, assise par terre à côté de la porte, Arashi écoutait ses parents. Elle ne comprenait pas vraiment tout, mais elle avait bien vu comment son père la fuyait. Cette nuit, elle s’endormi en pleurant et dormi très peu. En effet, au milieu de la nuit sa mère vint la chercher, un sac sur le dos. Cette nuit là elle quittèrent Hiroshima et s’installèrent à Tokyo. Ce n’est que bien plus tard qu’Arashi comprit que son père cherchait à se débarrasser d’elle et à contacter les autorités compétentes.
« Les hommes sont tous les même… »
Malgré tout, Arashi a continué à grandir. Elle a aussi apprit qu’elle ne pouvait pas parler de son secret à tout le monde, qu’il fallait le cacher et le préserver. Mais à la maison… Elle utilisait souvent son pouvoir, à l’abrie des regardes avec sa mère. En quittant son mari, sa mère s’était retrouvé sans argent et avoir une fille lance flamme à ses avantages pour faire des économies: pour la cuisine, la lumière… Il n’était pas rare que le soir, lorsqu’elles ne voulaient pas dormir, toutes deux se mettent à discuter à la lumière des flammes d’Arashi. Une grosse économies d’électricité. Toutes deux étaient aussi devenus plus proches que jamais, on a rarement vu une relation aussi fusionnelles entre une mère et sa fille. Quand au père, Arashi n’a plus voulu entendre parler de lui quand elle a commencé à comprendre pourquoi sa mère les avait fait quitté la maison. Seulement, l’absence d’un père a entaché sur sa façon d’agir avec les garçons. Cherchant à tout prix à remplacer cette figure masculine qui lui manquait tant, elle s’est mise à courir après les garçons, à croire que le grand amour pourrait la sauver. Ce n’est qu’une illusion. Un illusion qui finit par nous briser le cœur. Pourtant, elle y a cru. Elle avait enchainer plusieurs histoires, sans grande conséquences, ne se sentait pas bien avec ses hommes. Puis elle pensait avoir rencontre LE BON. Celui avec qui elle se marierait et aurait des enfants. Une histoire qui dura plus d’un ans. Elle était en deuxième année de lycée et lui dans la classe supérieure. Elle lui donna tout, son cœur et même son corps. lui-même se disait amoureux et près à tout endurer pour elle. Elle se décida alors à tout lui avouer. Elle avait tout préparé comme il se devait, pour qu’il l’apprenne en douceur. Après une balade romantique, elle l’aurait emmené sur le toit de l’école, où ils avaient partagés beaucoup de leurs meilleurs souvenirs. Une fois là-bas, elle lui parla brièvement de son père, qui n’avait pas eu le courage de l’accepter telle qu’elle était. Elle lui avait alors pris la main. « Mais toi, tu n’es pas comme ça, je le sais… » Le sourire aux lèvres, il avait acquiescé d’un signe de tête. Se sentant en sécurité, elle lui avait lâché la main. Tendant le poing devant lui, elle avait doucement ouvert sa main, lui montrant une flamme au creux de sa paume. Il resta abasourdi quelques instants, puis il lui avait sortie la phrase qui restera à vie dans la tête de la petite Arashi. « J’ai besoin de temps pour accepter ça. » Le lendemain il vint lui dire qu’il n’y arriverais pas et qu’elle devrait continuer à vivre sa vie sans lui.
« Maman, maman, maman »
A partir de là, plus le temps passait, plus Arashi était en colère. C’était le début de la dégringolade. Une dégringolade qui dura des années. Et plus le temps passaient, moins elle parvenait à contrôler son pouvoir. Son combustible s’était la colère, rien de bien étonnant que plus elle était en colère, moins elle y parviendrait. Elle termina le lycée, n’avait pas l’envie ou le courage d’aller plus loin. Elle se trouva un petit travail chez un glacier, pouvoir aller dans les chambres froides lui permettaient d’avoir un certain contrôle sur son don. Sa mère désespérait de la voir ainsi, mais elle ne voyait pas comment aider sa fille. Qui pouvait le savoir? Elle était dégoutée par les hommes, incapables de comprendre un pouvoir qu’elle n’avait même pas voulu. Elle se mit alors à sortir le soir, enchainant les histoires d’une nuit. Pourquoi ne pourrait-elle pas aussi utiliser les hommes, puisque eux ne se gênent pas. Puis sa colère arriva à son apogée. C’était son anniversaire. Comme elle en avait l’habitude, Arashi le fêtait avec sa mère. Elle mangeait toutes les deux du gâteau lorsque sa mère souleva un sujet que sa fille ne voulait pas entendre. « Tu ne crois pas qu’on pourrait appeler ton père? Toute du moins essayer de savoir ce qu’il est devenu aujourd’hui? » Fronçant les sourcils, Arashi fixa sa mère. « Je veux pas entendre parler de lui. » « Soit compréhensive, avec le temps il a du comprendre son erreur. » « J’ai dis NON ». Et là sans crier gare, son corps entier pris feu. La faisant devenir une torche humaine. « ARASHII! ARRETES ». Mais elle n’y parvenait, et elle le feu devenait de plus en plus fort. Tout s’arrêta lorsqu’elle tomba dans les pommes, mais c’était déjà trop tard. Sa mère gisait sur le sol, brulé à plusieurs endroits.
« Cours petite, cours »
Les secours arrivèrent sur ses entre-faits, lorsqu’ils lui demandèrent si elle n’avait tout ce qu’elle pouvait bredouiller était des mots incompréhensibles. La voyant en état de choc, ils considérèrent qu’elle était arrivé après l’incendie, ne trouvant aucune trace de brulure sur son corps. Ils ne trouvèrent jamais d’explication au départ de l’incendie, ni à son extinction et Arashi ne pipa jamais un mot durant les interrogatoires. Sa mère, elle, est toujours en vie, dans le coma, sous respirateur. Arashi passa les premiers jours à son chevet, pleurant sans arrêt, ne sachant comment s’arrêter. Et la nuit, elle dormait là où elle le pouvait, son appartement ayant disparue avec les flammes. Elle ne retourna plus au boulot non plus, elle restait juste au chevet de sa mère, sans dire un mot. Puis quelqu’un vint. Aujourd’hui encore elle ne sait pas s’il s’agissait d’une bénédiction ou d’un autre malheur. Comme toujours, elle était au chevet de sa mère et un homme vint. Il se présentait comme employée chez primatech, lui dévoilant alors que cette entreprise de papier avait aussi un but secret, celle de retrouver les gens comme elle et de les aider, du moins à ce qu’il disait. Il lui avoua savoir que c’était elle, la cause de l’incendie et qu’il pouvait l’aider à contrôler de nouveau correctement son don. Elle le suivit, n’ayant de toutes manières rien d’autre à faire. De là, ils la mirent dans une cellule spéciale. De là, il lui expliquèrent que la vitre devant elle pouvait résister à de très hautes températures et qu’il avait le moyen de la faire sortir toute sa colère. On la laissa seule dans la cellule alors, l’espace d’un instant, elle cru qu’ils lui avaient mentis, manipulés pour s’enfermer d’elle-même. Puis un homme passa de l’autre côté de la vitre et s’arrêta devant elle, la fixant de son regard haineux. Elle ne le reconnut pas immédiatement, 14 ans s’était tout de même dérouler depuis la dernière fois qu’elle l’avait vu, mais devant elle se tenait bel et bien son père. Une nouvelle fois, la colère montait en elle, concentrant son énergie dans ses paumes, elle envoya son feu dans la direction de son père. Les flammes restèrent bloqués par la vitre. Elle envoyait tout ce qu’elle avait. Durant des semaines, tout les jours, ils lui envoyèrent son père, encore et encore, jusqu’à ce qu’il la pense fin prête. On la convoqua dans le bureau du directeur. « Arashi, te voilà fin prête pour devenir un agent parmi nous, laisses moi te présenter ton partenaire. » Son père entra alors dans la pièce.
« Un des nôtres, un des leurs »
Et moi, je suis…
» Prénom/Pseudo : Leen ou maman Dragibus » Âge : 20 et dans un mois 21 (retenez bien!) » Double-comptes : nop' » Comment êtes-vous arrivé là ? Par un top-site » Un avis ? Une idée ? J'aime, j'aime, j'aime <3
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