» Nom : Misato
» Prénom : Ryûko
» Âge : 20 ans
» Date de naissance : 25 Avril 1991
» Né(e) à : Kyoto
» Nationalité : Japonaise & Coréenne
» Orientation sexuelle : Hétéro'
» Pouvoir : Manipulation sonique
» Métier : Mannequin mais continue des études de stylisme.

Elle n'aime pas grand monde. C'est un fait scientifique. La "Ryûko" est une espèce qui se méfie de tout le monde et qui évite de trop s'approcher des gens et de surtout s'accrocher à eux. Elle préfère réfléchir à savoir que faire du lendemain sans se faire attraper. Oui. Ça c'est vraiment quelque chose d'important. Naturellement, il fallait qu'il y est des gens complètement avides de pouvoir pour mettre en esclavage des gens comme elle. Lavage de cerveau et contrôle mental sur ces gens. Utilisation de la personne.
Puis il y les autres. Les gens comme elle. Elle en à déjà rencontrée quelques uns. Eux aussi ne savent pas pourquoi ils sont comme ça. Elle n'aime pas non plus s'approcher d'eux, ils pourraient un jour aussi lui poser des problèmes dans sa petite vie qui était -il y en encore quelques temps- si paisible. Ryûko à toujours été très calme et patiente, elle observe et réfléchis avant d'agir n'importe comment. Comme elle n'as pratiquement pas d'attache dans ce monde, difficile de faire mieux. Quand elle s'énerve, elle n'hausse pas la voix, mais serre les dents et frappe directement. Mais je vous rassure, il en faut vraiment énormément pour ça. Déterminée, quand elle veut quelque chose elle l'obtient toujours. Même si ça prendre du temps et qu'elle passe pour une timbrée.
Ryûko à un sarcasme à toute épreuve. Vous pouvez aussi bien rembarrer qu'elle, elle ne s'énervera pas justement pour que ce soit vous qui vous échauffiez. Parfois un simple sourire snob suffit à clouer le bec à son adverse face à son manque de réaction certain. Comme vous avez aussi pus le comprendre, Ryûko est une apathique de premier choix. Misanthrope. La foule l'énerve et la mets de mauvais poil, ce qui augmente vos chances pour vous en prendre dans la ... Figure -pour être polie.- Glacial, ca lui écorche presque la bouche de parler. Sinon que dire... Elle adore manger ! C'est rare de la voir sans sucrerie à la bouche. Elle brûle toute seule ses calories alors pourquoi ne pas en profiter ?
Elle aime beaucoup la musique, elle chante souvent mais seule. Elle n'as pas une voix de sirène. Elle a une voix enfumée surtout, comme si elle manquait de souffle ce qui est plutôt original dans son genre.

" Je n'ai jamais aimée parler de moi, ni de mon présent et certainement pas de mon passé. Mais apparemment, pour rentrer ici il faut se plier aux règles. Alors j'vais vous compter ma petite vie qui n'as rien d'extraordinaire.
Je n'ai jamais connue mon père, apparemment il est partie en laissant ma mère seule. Je ne sais pas encore s'il est encore en vie ou s'il à trépasser en se suicidant sous un métro ou en se jetant du haut d'un toit. Franchement, je m'en fiche pas mal. Voir carrément. Je ne sais pas si c'est ce gentil Papa qui m'as faite comme je suis car ma mère elle était des plus normal. Enfant, j'avais tout le temps des crises d'asthme. C'était vraiment gavant, je risquais une fois sur deux de crever pitoyablement. Mais finalement, combattante comme je l'étais, je ne me laissa pas vaincre pour si peu. Très jeune ma mère m'inscrivit à des cours d'arts martiaux en tout genre pour que je puisse tout de même pratiquer certains sports -bien que surveillée-. Je n'avais pas à aller en cours de sport avec les gens de ma classe. Que je ne supportais pratiquement pas. Ils étaient pratiquement tous à la masse la moitié du temps. Je n'appréciais qu'une ou deux personnes. Les autres avaient l'étrange faculté de me mettre de mauvaise humeur. Dés le collège, j'étais une jeune fille solitaire. Les gens ne m'approchaient pas. Ils pensaient que je me droguais ou je ne sais pas quoi d'autre. Pour une violente en plus de ça. Depuis pratiquement trois ans, plusieurs filles -très courageuses!- venaient me chercher des ennuies. Pendant trois ans je l'ai es ignorée et rabattue leur sales clapés. Sauf un jour. La commandante en chef de ces pé... Filles, vint s'en prendre à moi en classe en espérant faire de moi la victime d'Ijime*. Pas de bol pour elle, je me suis défendue de manière très violente en l'envoyant valser dans le mur assez violemment. Elle avait finit à l'hôpital et moi je fus renvoyer du lycée pendant un mois. Dés ce moment là, plus personne ne vint me chercher des ennuies. Sauf ceux que j'appréciai un peu qui venait parfois me parler. Je l'ai comprenais, ils risquaient d'être rejeter par leur amis s'ils trainaient trop avec une fille comme moi. J'avais un petit ami depuis que j'avais quatorze ans, il avait un an de plus que moi, c'était un motard.

C'est vers mes quinze ans, quand j'étais rentrée au lycée que je sentis un changement en moi. Mais pas celui que l'on nomme " adolescence ". Autre chose... Mon copain lui aussi était bizarre depuis quelques temps. Et puis un jour j'ai fais une crise brutale d'asthme comme jamais. J'ai bien faillis mourir. Mais je m'en suis bien sortie encore une fois. J'ai finis trois jours à l'hôpital avant de revenir en cours.
Vous connaissez les disputes de couple ? Comme tout le monde j'imagine. On s'est engueuler avec mon copain, et violemment d'ailleurs. Je ne sais même plus pourquoi aujourd'hui. On criaient énormément. Alors qu'il m'avait attrapée par l'épaule, je lui cria dessus. Et là... Ma voix c'était comme décuplée. Il c'était retrouvée par terre, ces oreilles le faisant souffrir atrocement. Pendant quelques temps, nous ne nous sommes plus parler avant de nous réconcilier. Il avait comme oublié ce petit souci et moi plus jamais je n'en parlai avec lui. Lui aussi était comme moi. Il me l'avait avoué d'une manière indirect.
Toutes mes années lycée, j'essayai de vivre avec cet différence cacher. Mais... Il mourût. Il c'était tué en moto. J'étais extérieurement mélancolique alors qu'à l'intérieur de moi j'étais complètement détruite. J'étais tellement en colère... Cette colère me dévorait littéralement. Alors le soir, je trainais dans des endroits désaffectés, seule. S'il y avait quelque chose que je pouvais casser, je criais de toutes mes forces. Tout se briser autour de moi. Et je pouvais au moins me défouler sans faire de mal à qui que ce soit.

Depuis ? Rien. Je suis devenue mannequin pour me faire du fric. Mais je compte bien devenir styliste et avoir ma propre boite plus tard. Donc je continue mes études en parallèle.Avec l'argent, j'essaye de payer mes études et mon appartement. Ma vie n'est pas intéressante. Elle n'est pas pleine de rebondissement. Mais c'est ma vie. "

*Ijime: littéralement " intimidation ", individus victime d'humiliation et de brimades venant d'un groupe qui l'est exclus. Dans ce cas ci, une classe.

Et moi, je suis…